Lifefolio V3.7/2024

À propos de la v1.3/2016

Principes de droit d'auteur appliqué

Comme annoncé dans mon Testfolio, les quatre premiers modules de ce parcours 2013-2016 s’appréhendent aux 2x2 temps matricialisés d’une quadrature du processus de production par la formule NetPlusUltra®. Dans cette métalogie, le Lifefolio fournit le défouloir autobiographique de l’auteur pour tout ce qui relève des influences (inter-) générationnelles qui l’ont guidé dans sa réflexion créative autant que régénérative:

Voir aussi:

https://infolio.daniela-berndt.foundation/fr/interactions/


À ce titre, cette première version (dans sa troisième itération augmentée) constitue une véritable théorie d’un tout virtuel unifié par la formule NetPlusUltra®, dont la raison d’être est de mettre en évidence - en tant que partie intégrante d’un parcours conceptuel jalonné de modules de démonstration (de la solution à tous les maux du Net) - toutes les interactions fondamentales d’une systémique dédiée à un noyau unique, en l’occurrence…cette même formule NetPlusUltra®, qui n’est autre qu’un procédé unique de résolution virtuelle (informatisée) de problématiques issu d’une conceptualisation du droit d’auteur européen dont tout l’intérêt est de rendre ce dernier…applicable!

Ramenée à l’échelle de ce Lifefolio original d’auteure, la problématique à résoudre consiste à mettre en évidence…

  • c'est-à-dire à restaurer, entretenir, et cultiver,
  • en haute-fidélité sensorielle,
  • à des fins de séparation multidimensionnelle des problématiques,
  • et sous forme de matrice d'incidences,

…notre mémoire de toutes les influences qui stimulent - directement ou indirectement, et à des niveaux de perception divers - le processus méta-cognitif de production d’une oeuvre nouvelle.

Ce qui, en soulevant la question de l’ingénierie conceptuelle du droit d’auteur à mettre en oeuvre pour atteindre cet objectif, nous fait entrer dans le vif du sujet, puisqu’il s’agit de modéliser un retour d'expérience individuelle sans altérer les droits de propriété de chaque auteur sur son oeuvre, et nécessite donc de rappeler quelques principes fondamentaux:

  1. Du particulier au général, et vice-versa, l'intérêt moral et financier de publier une oeuvre, pour un auteur souhaitant vivre de ses productions, est de se faire (re)connaître sous une forme ludo-pédagodique qui sera utile à son public.
  2. Le principe de liberté d'expression autorise la citation, ce qui permet à un auteur (artiste, chercheur, enseignant, professionnel du savoir, etc.) d'étayer ses propres arguments en se référant à des sources tierces; dans la mesure où interdire de citer équivaudrait à dissuader de créer, on ne peut intervenir légalement que sur le risque de détournement de sens à des fins sectaires (le fait de sortir le contenu d'un auteur de son contexte d'origine sans citer la source).
  3. S'il est vrai que n'importe quel processus de création devrait commencer par une compilation de sources tierces (c'est-à-dire un inventaire représentatif de ce que l'auteur cherche à exprimer ou à démontrer), il est tout aussi important de savoir qu'une telle compilation ne pourra être considérée comme une première ébauche d'oeuvre nouvelle que si elle est conceptuellement "foliotée" dans ce sens, c'est-à-dire si elle respecte les deux premiers principes.
  4. Considérant que l'intérêt d'une liste de lecture réside précisément dans le fait qu'il s'agit d'une compilation (dédiée à un propos spécifique) de citations dans laquelle chaque élément renvoie directement à sa source légitime (ou à l'une d'entre elles s'il y en a plusieurs), il n'y a plus qu'à s'entendre sur les standards de citation officiels (conceptuellement "ISOtériques") à adopter pour chaque grande catégorie de format (texte, audio, vidéo, code, page web): c'est la raison d'être de ce Lifefolio…
…autrement dit: la raison pour laquelle ce dernier est ainsi conçu!

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