Dimensions économiques du développement durable
03/08/2013 00:00 Indexé sous: Volet 3
Principes de l'économie cognitive
De retour de Munich, une fois passée la chute de stress liée à la sortie de la "zone de conflit", je n'ai pas tardé à mettre à profit le temps qui m'était donné de faire le point (zéro) sur la situation, et pour cause: depuis mon entrée dans un état second de réalité augmentée, mon attention était entièrement absorbée par un étrange effet "AlphatraZ", directionnel en ce sens qu'il indiquait très clairement la direction de la cure: un double effet de mémoire virtuelle incroyablement (ré)intégrée (par hyperventilation subite de chaînes associatives audiovisuelles), couplé d'une inaccessibilité quasi-totale de l'élément alpha, c'est-à-dire de la première impression à la source de chacune de ces chaînes. Une étrangeté paradoxale, à la fois rassurante et inquiétante: tout était là, omnipotent à tous les espaces-temps, sauf…le début d'une histoire que, du coup, je percevais comme par trop fictive. Se posait donc un problème logique de concordance des temps du passé, du présent, et du futur.Hyperconsciente d'une certaine (in)vulnérabilité originelle, autant que du caractère parfaitement sectaire de l'assessment par lequel j'avais accédé à cet univers parallèle, je décidai de m'installer dans le rôle du libre-arbitre redresseur de "tore", et d'enrichir ma boîte à outils par l'étude des jargons du sectarisme et de la psychanalyse, comme pour consolider cette dimension d'avance surnaturelle sur la perception de ce phénomène psi. La résolution de ce conflit psychique déclaré, en effet, ne pouvait passer que par l'exploration de cette hyperalternative qui s'offrait à moi...seule. En rétrospective d'un saut quantique qui, depuis mon bug cognitif de juin 2000, prenait la courbure d'une odyssée 2001 de l'espace, j'étais effectivement étrangement en avance sur l'heure.
Malgré un handicap cognitif certain, que chez moi, et dans cet état, je ne percevais pas comme tel, c'est en tant qu'agent économiquement intelligent coincé entre deux valences à réconcilier (patient-thérapeute), que j'ai risqué, fin 2000, une incursion-excursion dans le monde du conseil, à la fois pour tester mon état, mais aussi et surtout pour débloquer une demande d'allocation chômage encastrée avec moi dans le vide juridique autant que dans la rumeur. La période d'essai, écourtée, allait confirmer une angoisse structurelle post-traumatiquement augmentée par l'épisode précédent: en d'autres termes, à Paris comme à Lyon, j'étais encore accaparée par Munich. Voilà pour ce qui a présidé à l'ouverture de mon "Plan d'Action Personnalisé".
En termes d'économie cognitive, l'épisode aura néanmoins eu cela de bénéfique de faire avancer ma réflexion sur les concepts d'économie du savoir et de matrice des connaissances, avec une visée thérapeutique évidente liée à la nécessité de restaurer mes éléments alpha, plus que jamais noyés dans un effet de chaudron. En matière de résolution de problème de temps logique, l'espoir était…structurel.
Justement. C'est dans ce contexte conflictuel de rumeurs alimentées par les hypothèses les plus folles (née sous X et j'en passe), que j'ai saisi, par déduction collatérale, l'incidence paradoxale, en tant que sinthome émancipateur, du nom-du-père (inconnu) sur ce qu'il y a de structurel dans une telle angoisse protéiforme (en ce sens que cette dernière sait épouser ses propres contours). À partir de cette (image du père) inconnue comme clé de chiffrement de l'énigme à résoudre (née sous Y), il ne me restait plus qu'à remonter ma propre ligne de mire temporelle.
Forte de cette triple certitude Recto-Verseau ascendant Balance, c'est-à-dire sous le coup d'un effet de gémellité autant que de jumelage face à une représentation dérangeante de mon Gémeaux de père inconnu, j'ai décidé, dès janvier 2001, de mettre le cap sur "l’auto-psy" (au sens de démantèlement à titre posthume) de mon schéma stéréoptique, à la mémoire de tout ce qu'une telle infrastructure I.R.S. peut contenir d'Imaginaire, de Réel et de Symbolique. Dans la mesure où mon intention était purement thérapeutique, je ne m'attendais pas à ouvrir une telle boîte de Pandore.
Le désamorçage de ce qu'une telle hyperdynamique a d'infernal allait mettre en évidence l'effet de l'angoisse structurelle sur l'allocation de mes ressources cognitives, c'est-à-dire sur ce qu'il y a de sélectif dans l'attention, et donc, dans la mémoire: en d'autres termes, ce qui fait que, dans une situation donnée, on voit sans regarder, ou que l'on entend plus que l'on n'écoute. J'allais réaliser que mon schéma stéréoptique hyperactif est de ceux qui écoutent avec les yeux autant qu'ils regardent avec les oreilles, et ainsi, par recoupements successifs de pellicules mnésiques audiovisuelles, restaurer ma mémoire alpha, purgée de cette dissonance cognitive épuisante qui alimentait mon conflit psychique.
(Développement en 2019)
Malgré un handicap cognitif certain, que chez moi, et dans cet état, je ne percevais pas comme tel, c'est en tant qu'agent économiquement intelligent coincé entre deux valences à réconcilier (patient-thérapeute), que j'ai risqué, fin 2000, une incursion-excursion dans le monde du conseil, à la fois pour tester mon état, mais aussi et surtout pour débloquer une demande d'allocation chômage encastrée avec moi dans le vide juridique autant que dans la rumeur. La période d'essai, écourtée, allait confirmer une angoisse structurelle post-traumatiquement augmentée par l'épisode précédent: en d'autres termes, à Paris comme à Lyon, j'étais encore accaparée par Munich. Voilà pour ce qui a présidé à l'ouverture de mon "Plan d'Action Personnalisé".
En termes d'économie cognitive, l'épisode aura néanmoins eu cela de bénéfique de faire avancer ma réflexion sur les concepts d'économie du savoir et de matrice des connaissances, avec une visée thérapeutique évidente liée à la nécessité de restaurer mes éléments alpha, plus que jamais noyés dans un effet de chaudron. En matière de résolution de problème de temps logique, l'espoir était…structurel.
Justement. C'est dans ce contexte conflictuel de rumeurs alimentées par les hypothèses les plus folles (née sous X et j'en passe), que j'ai saisi, par déduction collatérale, l'incidence paradoxale, en tant que sinthome émancipateur, du nom-du-père (inconnu) sur ce qu'il y a de structurel dans une telle angoisse protéiforme (en ce sens que cette dernière sait épouser ses propres contours). À partir de cette (image du père) inconnue comme clé de chiffrement de l'énigme à résoudre (née sous Y), il ne me restait plus qu'à remonter ma propre ligne de mire temporelle.
Forte de cette triple certitude Recto-Verseau ascendant Balance, c'est-à-dire sous le coup d'un effet de gémellité autant que de jumelage face à une représentation dérangeante de mon Gémeaux de père inconnu, j'ai décidé, dès janvier 2001, de mettre le cap sur "l’auto-psy" (au sens de démantèlement à titre posthume) de mon schéma stéréoptique, à la mémoire de tout ce qu'une telle infrastructure I.R.S. peut contenir d'Imaginaire, de Réel et de Symbolique. Dans la mesure où mon intention était purement thérapeutique, je ne m'attendais pas à ouvrir une telle boîte de Pandore.
Le désamorçage de ce qu'une telle hyperdynamique a d'infernal allait mettre en évidence l'effet de l'angoisse structurelle sur l'allocation de mes ressources cognitives, c'est-à-dire sur ce qu'il y a de sélectif dans l'attention, et donc, dans la mémoire: en d'autres termes, ce qui fait que, dans une situation donnée, on voit sans regarder, ou que l'on entend plus que l'on n'écoute. J'allais réaliser que mon schéma stéréoptique hyperactif est de ceux qui écoutent avec les yeux autant qu'ils regardent avec les oreilles, et ainsi, par recoupements successifs de pellicules mnésiques audiovisuelles, restaurer ma mémoire alpha, purgée de cette dissonance cognitive épuisante qui alimentait mon conflit psychique.
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